Un peu d'histoire
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La société est créée en 1849 en l'école
communale sous la
dénomination "LES FANFARES D'AYWAILLE". La baguette de
direction est
confiée à M. MEURON, auteur de la fantaisie musicale sur les
"Crâmignons Liégeois" et une école de musique est fondée.
En 1876, elle prend le nom de "FANFARE LES ECHOS DE
L'AMBLEVE" et à
l'occasion de son cinquantième anniversaire se voit octroyer le titre
de FANFARE ROYALE.
Parmi les fondateurs on note les noms de Lambercy, Grodent, Marcellis,
Lambotte et Salmon qui deviendra le premier président.
C'est l'époque de la participation à de grands
concours internationaux tous couronnés de succès.
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A partir de 1861, Charles Lambercy, ensuite Joseph
Thiry, Emile Moxhon,
Léon Leboutte, Jean Wilmotte en 1899 pour le cinquantième puis Jules
Kepenne et Ernest Lambercy présideront successivement aux destinées des
Echos. En 1912, Antoine Pickman prend la direction de la fanfare, pour
peu de temps car c'est la tourmente de 14-18. En 1918, il reprend sa
place de directeur et conduit les Echos sur le chemin du succès. Aux
expositions internationales de Bruxelles d'abord, de Liège ensuite où
des concerts aux kiosques du Gai Village Mosan et du Jardin
d'Acclimatation sont très appréciés.
En 1936, la société se produit quatre fois à Liège
pour l'exposition internationale de l'eau.
C'est la seconde guerre mondiale et il faut attendre 1945 pour voir les
Echos repartir de l'avant sous la direction magistrale de Victor
Graindorge. |
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En 1949, pour le Centenaire, plus de 100 sociétés
défilent et se
produisent en concert en quatre dimanches de Mai. Un président
d'honneur Charles Lambercy, un secrétaire Jules Dispa et un directeur
Victor Graindorge; trois hommes qui font du centième anniversaire des
Echos un inoubliable événement.
En 1950, la société programme l'organisation d'un
carnaval à Aywaille.
Ce sera le premier d'une série de 41 organisations qui d'année en année
amèneront à Aywaille un public de plus en plus nombreux pour assister à
un cortège de plus en plus étoffé.
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1957 voit la réalisation d'un rêve: posséder
son propre local.
Les Echos emménagent au Century qu'ïls ont racheté. Curieuse histoire
que celle de cette salle offerte à la fanfare en 1888 et inaugurée par
un concert des Disciples de Gretry, elle fut revendue en 1905. Après
avoir occupé plusieurs salles et s'être installés au domicile de son
président Charles Lambercy les Echos rachèteront leur ancien local
devenu la Maison du Peuple qu'ils baptiseront "Le Century".
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En 1971, Jean Devroye prend la direction de
l'orchestre. Par son talent
son tact et sa persévérance, il lui donne un style si particulier que
l'appellation Fanfare est abandonnée pour celle d'Ensemble Instrumental.
Cousin, Lahaut, Pondant, Dispa, Thomsin et bien d'autres disparaissent
mais des plus jeunes prennent la relève avec le même esprit et la même
volonté de faire vivre la société.
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En 1992, les Echos concourent avec succès en
division supérieure à Bamberg en Allemagne.
Cette grandiose compétition internationale à laquelle participent 173
sociétés est clôturée par une prestation d'ensemble à laquelle
participent 6.500 musiciens. |
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En 1994, Jean Devroye transmet la baguette de
direction à Alain Bonet
qui avec le même dynamisme et la même rigueur conduit les Echos vers la
suite de leur histoire...
En 1999, les Echos fêtent un siècle et demi d'existence.
En 2011, après 16 ans à la direction de l'orchestre,
Alain Bonet cède la baguette de direction à Manuel Fernandez
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En 2013, .Monsieur
Hugo pasqualini reprend la direction musicale de notre ensemble
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